lundi 18 octobre 2010

Les logiciels de graphisme

Les logiciels de graphisme sont utilisés par plusieurs personnes de différents âges. Ils sont souvent utilisés lorsqu’il  s’agit de modifier une photo ou bien une image qu’on désire utiliser. Ce type de logiciel peut être utilisé par un professionnel pour faire son port folio ou seulement pour le plaisir. Il est aussi possible d’utiliser ce genre de logiciel avec nos élèves dans différentes matières :


Mathématiques :
  • Selon le programme de formation de l’école québécoise, il est possible d’apprendre la notion d’espace avec ce type de logiciel. On peut demander à l’enfant, dans le logiciel photofiltre ou bien tout simplement paint, de placer une image dans le coin inférieur droit. Plusieurs options sont possibles (en haut, au milieu, à droite, à gauche, etc.) Les enfants adorent travailler avec les ordinateurs et la notion d’espace peut facilement être comprise de cette façon. Dans le même ordre d’idée, on pourrait créer un personnage farfelu. L’enseignante pourrait demander de placer un nez au bas du visage, une bouche dans le coin droit de la figure et ainsi de suite, pour terminer avec un bonhomme complètement farfelu.
  • Au lieu de travailler avec excel pour créer des diagrammes à bande ou bien des frises, il serait possible pour eux de créer un tableau à l’aide du logiciel paint. Il serait possible pour eux de dessiner les différents diagrammes ainsi que d’identifier les différentes parties.
  • La géométrie pourrait aussi être touchée. L’enseignante pourrait demander aux élèves de dessiner une maison avec différentes formes (losange, triangle, rectangle, carré, pentagone, etc.), les élèves devraient aussi les identifier sur le dessin pour montrer leur compréhension.
Français :
  • Il serait possible à l’aide de paint de créer différents dessins en vue d’en écrire une histoire. Étant donné que paint permet d’écrire dans notre image chaque image pourrait être décrite par les élèves pour avoir une meilleure compréhension de l’histoire.
  • L’enseignante pourrait aussi mettre des phrases dans un fichier image pour que les jeunes puissent l’ouvrir avec paint. Ensuite, les élèves auraient certaines directives à suivre : encercler le groupe verbe en bleu, le groupe sujet en rouge, etc. Ceci travaillerait la reconnaissance des groupes de mots dans une phrase.
Histoire :
  • Les élèves pourraient être amenés à créer une ligne du temps à l’aide de paint. Il pourrait créer différents personnages et ensuite les associer à une date. Ils auraient donc une ligne du temps complète avec des illustrations pour les aider.
Sciences :
  • Lors d’expérience comme la pousse d’une graine (plante), il serait possible pour eux de photographier à plusieurs reprises et à des stades différents, la pousse d’une plante. Ensuite les élèves pourraient mettre les images sur photofiltre en indiquant quand elle a été prise pour pouvoir voir une évolution de leur plante.
Plein d’activités intéressantes peuvent être créées grâce aux logiciels de graphisme. En plus d’être efficaces pédagogiquement, ces activités plairont à tous les élèves et l’appropriation des TIC se fera d’une façon naturelle et amusante.

Source: Programme de formation de l'école Québécoise.

lundi 11 octobre 2010

Vidéoprojecteur

Le vidéoprojecteur, évolution du rétroprojecteur, est un outil très utilisé dans les différentes écoles du primaire. Il fait partie du quotidien des enseignants depuis déjà quelques années et il est encore possible d’en faire un outil technologique important. Comme mentionné plus haut, presque toutes les écoles primaires en on il est donc à porter de main. Cet outil est un outil multidisciplinaire, car il peut être adapté pour enseigner différentes matières :

  • FRANÇAIS : Il peut être utilisé lors de la correction de certains travaux tels que des textes troués,  des textes ou les élèves doivent trouver les erreurs. Il peut aussi servir à présenter une nouvelle notion aux enfants ( l’accord, le pluriel, etc)

  • MATHÉMATIQUE : Cet outil peut servir énormément lorsqu’il est question de géométrie. Il est possible de présenter une forme pour en définir les sommets les arrêtes en entourant les parties pour que les élèves voient vraiment ce qu’il est demandé. La translation peut, elle aussi, être mise dans un programme et ensuite être vu sur l’écran. Au lieu d’utiliser le tableau pour faire la démonstration d’une soustraction, d’une addition, d’une multiplication ou d’une division, il est possible de la faire grâce au vidéoprojecteur. Il peut servir aussi pour la notion de mesure en présentant les objets plus gros que nature.


  • SCIENCE : Il y a aussi possibilité de se servir de cet outil dans les sciences. Durant certaine expérience, il est possible de voir la réaction de certains produits liquide grâce à des vidéos pris à l’aide d’une caméra ou bien de photos présenter sur la toile.

  • ARTS : Les arts sont une des matières les plus aimées des élèves et le rétroprojecteur peut rendre les choses encore plus intéressantes. Il est possible de prendre des photos des différents dessins pour encuite faire un montage et le présenter à toute la classe.

Ce nouvel outil est tellement utile. Il est possible de faire un tas d’activités reliées à celui-ci. Plusieurs de celle-ci ont été mentionnées ci-haut, mais si vous utilisez votre imagination, il est possible d’en créer d’autres.

lundi 4 octobre 2010

GOOGLE DOCUMENT

Google document est un outil que l’on peut utiliser directement sur internet sans avoir besoin de télécharger quelque chose. On peut le retrouver sur le site http://www.google.ca/ et il suffit d’aller voir les petites icônes en haut à gauche pour trouver google document. Il nous permet ainsi de stocker n’importe lequel de nos travaux. En fait, on peut le comparer à un disque dur. Il enregistre nos documents directement sur internet et il est possible d’aller les récupérer de n’importe quel ordinateur et à n’importe quel endroit.

En plus, plusieurs personnes peuvent travailler sur le même projet, c’est un outil à considérer lorsque viennent des travaux d’équipe. Seulement les personnes que l’on autorise peuvent modifier le travail ou travailler sur le même projet simultanément. Les travaux sont enregistrés automatiquement plusieurs fois, il n’est donc plus nécessaire de s’inquiéter de perdre notre travail. Cet outil peut aider les élèves dans leurs travaux et ainsi les aider avec les TIC :

  • Lors de travaux, on peut montrer aux élèves google document pour leur faire comprendre qu’il existe d’autres moyens d’enregistrer leurs travaux d’une façon sûre, en restant accessible en tout temps.
  • Lors d’activité en équipe il est intéressant de l;es faire travailler sur deux ordinateurs différents, car deux enfants sur un seul ordinateur, cela peut créer certains conflits. En étant chacun sur leur ordinateur, il peuvent mettre chacun leur grain de sel au travail.
  • Grâce à cet outil, il est aussi possible de voir ce que les enfants on fait. Étant donné que le programme enregistre très souvent, on peut voir presque toutes les modifications que les enfants ont faites et ainsi voir s’ils ont travaillé ou non.

C’est un outil très utile qu’il est possible d’exploiter dans une classe pour ainsi faciliter le stockage de travaux ainsi que la supervision des travaux par l’enseignante. C’est excellent de faire une démonstration lors d’un stage, car c’est une utilisation des TIC qu’il est facile de mettre en place.

jeudi 30 septembre 2010

Les limites des correcticiels lors du traitement de texte

Les correcticiels sont des logiciels faisant partie du traitement de texte. Ils sont en mesure de détecter les erreurs commises lorsque l’enfant écrit un texte à l’aide d’un ordinateur. Les avis concernant ce type de logiciel est assez mitigé lorsque vient le temps de voir l’apport pédagogique qu’en retirent les élèves lors de son utilisation. Il sera ici question des limites que peut apporter un correcticiel.
Les limites :
-          Les correcticiels ne sont pas 100% efficaces. Les élèves ne peuvent donc pas si fier uniquement sur ce type de logiciel pour faire la correction de leurs travaux. D’après une étude d’une étudiante Jean Véronis, professeur à l’université de Provence, Marie Piu, « ce sont 62 % des erreurs qui sont détectées, et lorsque l’erreur est détectée, la première proposition faite par MSWord est la bonne dans seulement 74 % des cas. Dans 16 % des cas, aucune des propositions n’est valable. »

-          Il faut aussi reconnaitre que l’orthographe évolue souvent. Étant donné que certains changements se font assez régulièrement, il est normal que les différents correcticiels ne puissent pas toujours suivre la cadence. Il arrive souvent que les correcticiels ne tiennent pas compte de la nouvelle orthographe et des changements apportés à certains mots.

-          La ponctuation est aussi un problème dans différents correcticiels. Les erreurs flagrantes comme le point à la fin d’une phrase, ne sera pas comprises par le correcticiel. Il fera plusieurs suggestions qui ne seront pas bonnes tandis qu’un élève pourrait, par lui-même, être en mesure de comprendre son erreur.

-          Il y a aussi les limites portant sur les propositions que font les correcticiels lorsqu’un mot est mal orthographié. Le fait que le correcticiel n’inscrive pas tous les mots pourtant possibles ou donne des suggestions qui n’ont aucun rapport avec le texte.

Je crois en fait que les correcticiels peuvent faire partie de quelques activités pédagogiques, mais qu’il ne faut pas mettre l’accent sur ceux-ci. L’enseignant doit être en mesure de bien comprendre le logiciel pour pouvoir penser l’appliquer dans un contexte d’apprentissage réel avec les élèves. Les correcticiels ont du potentiel, mais ne sont pas fiables à 100% et il faut en être conscient.
Sources :
  1. BRULLAND, Isabelle et MOULIN, Christine. Y faux camp m’aime fer attends scions. CRAP, Cahier pédagogique. http://www.educa.ch/tools/70564/files/http___www.cahiers-pedagogiques.com_article.php3_id_article=2167.pdf
  2. F. BERTEN, professeur de français à l'Institut Saint-Joseph, à Saint-Hubert,  Membre de la Commission "Français et Informatique" (FESeC). users.skynet.be/ameurant/francinfo/download/correcteur.rtf



lundi 27 septembre 2010

Le tableau blanc interactif

Le tableau blanc interactif est un nouvel outil pédagogique intéressant et facile à utiliser. Le tableau est relié à un ordinateur et un vidéo projecteur. L’écran de ce tableau est un écran tactile, il est donc possible pour l’élève d’agir directement sur celle-ci grâce à un stylet. Grâce à ce nouvel outil, l’intégration des TIC peut être faite de façon quotidienne et d’une façon très dynamique.
Voici quelques-uns des apports pédagogiques de cet outil :
-         Le tableau blanc interactif aide à motiver les élèves durant une notion qui peut être un peu plus ennuyante. Étant donné que le tableau représente une nouvelle forme de technologie, la curiosité des élèves est plus éveillée, ce qui fait en sorte que la motivation reste présente lors de toute la présentation.

-         En plus, grâce à ce tableau, il est plus facile pour l’enseignant de captiver l’attention des élèves, car l’enseignement est plus dynamique et plus animé. Les différents logiciels qu’il est possible d’utiliser avec le tableau blanc interactif sont faciles et divertissants pour les élèves. Il est donc possible pour eux de l’utiliser.

-         Les élèves sont aussi amenés à apprendre l’utilisation d’un ordinateur ainsi que la façon d’utiliser plusieurs logiciels différents.  

-         Il peut faciliter l’apprentissage chez les élèves, car durant un travail, si un élève se pose une question sur un phénomène ou bien sur un mot, il est possible d’aller directement sur le tableau pour ensuite valider l’information. Avec cet outil, l’élève peut aller sur plusieurs sites Internet afin de s’approprier mieux un élément de réponses plus nébuleux pour lui.

-         Selon l’attitude du professeur, il est possible que l’utilisation du tableau blanc interactif motive le professeur à intégrer les TIC de façon plus prononcés. Comme il a été mentionné plus haut, les logiciels possibles à utiliser sont efficaces, faciles à apprendre et intéressants.

Source :               - http://www.educnet.education.fr/secondaire/usages/TBI : ce site nous apprend comment on peut intégrer les TIC dans les classes et nous présente du matériel ou des logiciels intéressants.
                               -CHARVIN, Géraldine. Tableau blanc interactif : quels usages, quels apports ?. Lundi 06 avril 2009. http://www.connexite.fr/dossier/2244/connexite-magazine-n-7/connexite-magazine/connexite-magazine-n-7/page/tableau-blanc-interactif-quels-usages-quels-apports   [En ligne]

jeudi 23 septembre 2010

QUI SUIS-JE????

La joie de vivre, pour moi, est quelque chose de super important. Il faut chérir tous les moments qu’elle nous offre. Je suis un passionné, qui s’intéresse à un tas de choses différentes, de la peinture à la technologie passant par les mathématiques. Je suis un étudiant en enseignement primaire et préscolaire qui finira son BACC dans un an et demi.  J’ai voulu devenir enseignant, car les enfants me fascinent, leur côté positif ainsi que leur curiosité me donne le goût de faire ce métier toute ma vie. Je suis à l’écoute de quiconque en a besoin.  Toutes les personnes qui me côtoient savent très bien que je suis un être en qui elles peuvent avoir confiance et me confier des choses qui leur pèsent lourd.
L’humour pour moi est aussi très important, il faut savoir rire de sois même et ne pas trop se prendre au sérieux. J’adore m’entourer de gens positifs qui pourront apporter quelque chose de positif dans ma vie et j’essaie de faire de même. Je suis quelqu’un qui à plusieurs rêves et qui met tous les efforts pour les réaliser. Je suis très idéaliste, je me vois dans 10 ans avec la maison de mes rêves, avec des enfants, en compagnie de la personne que j’aime…..Oups, j’allais oublier, il y aurait aussi deux chiens à nos côtés, car pour moi, les chiens sont de petites bêtes tellement pleines d’affection.
Je suis authentique, direct, vivant, sociable, intelligent, entêté, je me nomme Pierre-Yves.